Bienvenue au 5ième édition du Symposium sur le TSAF ! Notre thème pour 2021 est « Gérer les comportements difficiles chez les enfants, les jeunes et les adultes atteints du TSAF ».
Ce colloque est destiné à toute personne qui interagit régulièrement avec des personnes ayant un TSAF – que ce soit à l’école, à la maison ou dans la collectivité- et qui veut obtenir des conseils sur les stratégies permettant d’améliorer ces interactions.
Cette conférence vise non seulement à présenter de l’information fondamentale sur le trouble du spectre de l’alcoolisation fœtale, mais aussi à fournir des connaissances approfondies aux personnes travaillant dans les domaines de l’éducation, de la santé physique et mentale, du développement de l’enfant, de l’application de la loi, des services correctionnels, de la protection de l’enfance et des services sociaux.
Nous avons tous un rôle à jouer pour mieux sensibiliser les gens à l’impact que la consommation d’alcool peut avoir sur les bébés qui vont naître. Le TSAF affecte environ 1,5 million de Canadiens. La consommation d’alcool, quelle qu’en soit la quantité ou la sorte, n’est sécuritaire à aucun stade de la grossesse.
Certaines présentations diffusées lors de cette conférence peuvent contenir du matériel qui peut provoquer des réactions ou s’avérer traumatisant pour certains téléspectateurs, y compris des histoires sur la violence résultant de l’intersection du handicap, de la pauvreté, du racisme, du sexisme et de la discrimination.
Si le visionnement de ces vidéos engendre un inconfort ou de la détresse psychologique, vous êtes priés de joindre l’équipe du Programme de ressources sur l’alcoolisation fœtale (FARP) afin d’obtenir du soutien (fasd@able2.org ; 613-761-9522 ext. 234) ou de communiquer avec les ressources suivantes :
Les enfants et les jeunes peuvent appeler un conseiller de la ligne d’aide Jeunesse, J’écoute au 1-800-668-6868.
Si vous avez déjà un travailleur social, psychologue ou psychiatre parmi votre équipe de soins, veuillez communiquer avec eux directement s’il vous plait. Les salles d’urgence ont un travailleur social et un psychiatre de garde si vous avez besoin d’une intervention plus immédiate.